YVETTE QUÉRÉ A TORTURÉ SON FILS YANN PENDANT 12 ANS – RÉSUMÉ

Yvette Quéré
Yvette Quéré

Yvette Quéré est née le 3 novembre 1957 et habite au 2 Rue de Venise, 22000 Saint Brieuc dans les Côtes d’Armor (22) en Bretagne.

Yvette Quéré est une femme très manipulatrice qui a battu et torturé son fils Yann durant les 12 premières années de sa vie.

Yvette Quéré a tenté à plusieurs reprises de tuer son propre fils Yann par empoisonnement en lui administrant de grandes quantités de somnifères et en le forçant à boire de l’alcool. Aujourd’hui, c’est un miracle que Yann ne soit pas décédé.

A défaut de ne pouvoir le tuer, Yvette Quéré a battu et torturé son fils Yann durant 12 longues années.

Dès la naissance de Yann le 24 avril 1978, Yvette Quéré ne voulait pas le prendre dans ses bras et disait à la sage-femme que ce bébé était moche.

Pour inciter le père de Yann à le frapper, Yvette Quéré n’hésitait pas à déchirer les cahiers d’école et le cartable de son fils, a lui découper ses draps de lit au ciseau, à déchirer le papier peint et à gribouiller les murs de la chambre de son fils, à caser le cadeau de la fête des pères, à lui caser ses jouets de noël offerts par les membres de sa famille, etc…

Yvette Quéré battait son propre fils à coups de bâton et de martinet. Elle lui mettait des claques, des coups de poings, ainsi que des coups de pieds au visage et sur tout le corps.

Yann vivait toujours enfermé dans sa chambre ou bien enfermé dans le noir dans le garage. Il était toujours contraint de dormir par terre. Yvette Quéré interdisait à Yann d’aller aux toilettes.

Yvette Quéré n’a jamais cessé de faire subir à son fils Yann des tortures de plus en plus atroces comme par exemple :

Yvette Quéré à forcer son fils Yann à voir le cadavre de sa tante le jour de son décès alors que Yann n’avait qu’une dizaine d’année. Pourtant, toute la famille était contre à ce que les enfants voient le cadavre de la sœur d’Yvette Quéré.

Pratiquement chaque matin, Yvette Quéré s’amusait à balancer son propre fils Yann dans les escaliers.

Yvette Quéré forçait son fils Yann à avaler de la soupe bouillante. Yann souffrait de brulure dans la bouche toute la nuit.

Pendant que les sœurs de Yann allaient à l’école en voiture, Yann y allait toujours à pied. Et quand il neigeait, Yann allait à l’école en Tongue et en short. La maitresse d’école prêtait à Yann des vêtements chauds pour la journée. Des vêtements qu’il rendait à sa maitresse le soir avant de rentrer chez lui de nouveau en Tongue et en short. Il arrivait parfois que certains parents d’élèves conduisaient Yann en voiture jusqu’à son domicile. Mais Yann demandait à ce qu’on le dépose 100 mètres avant son domicile de peur de se prendre une raclée par sa mère.

Quand Yann montait dans la voiture, celui-ci était obligé de s’assoir par terre derrière le siège passager. Ce qui permettait à Yvette Quéré de le frapper pendant les trajets.

Yvette Quéré humiliait son fils Yann en lui accrochant des épingles à linge sur son sexe. Elle se moquait de lui en lui disant qu’il avait un tout petit zizi. Parfois cela se passait devant ses sœurs.

Yvette Quéré obligeait son fils à se mettre à genoux sur une règle en métal pendant de longues heures. Yann se prenait des coups de règles en métal sur les doigts et sur la tête.

Yvette Quéré mettait son fils tout nu dans le jardin en plein hivers pendant des heures. Il arrivait parfois que la voisine donnait une pomme ou un gâteau à Yann. Des offrandes que Yann mangeait rapidement de peur de se faire voir par sa mère Yvette Quéré.

Yvette Quéré obligeait son fils Yann à se mettre tout nu en plein soleil afin que celui-ci soit brûlé au maximum par les rayons du soleil. Yann s’est donc retrouvé couvert de coups de soleil. A présent, Yann est allergique au soleil. En effet, le soleil lui provoque des démangeaisons, des boutons et les yeux qui coulent.

Yvette Quéré obligeait Yann à manger du pâté pour chien ainsi que des croquettes pour chat.

Yvette Quéré affamait son fils Yann en le privant de nourriture pendant plusieurs jours pour ensuite le gaver de force jusqu’à le faire vomir. Yvette Quéré l’a contraint à manger un boudin rouge en entier et à finir les restes de ses sœurs. Quand Yann vomissait, Yvette Quéré obligeait Yann à nettoyer son vomi en le mangeant.

A chaque fois qu’Yvette Quéré donnait le bain à son fils Yann, elle lui mettait la tête sous l’eau. Yvette Quéré a tenté à plusieurs reprises de noyer Yann dans la baignoire. Yvette Quéré s’amusait à mouiller Yann avec de l’eau bouillante et de l’eau glacée.

Yvette Quéré à brûler la main de son fils Yann sur une plaque électrique. L’oncle de Yann s’en ai aperçu mais celui-ci n’a rien dit et rien fait pour défendre Yann.

Yvette Quéré s’amusait à balancer des punaises sur la terrasse du jardin et obligeait son fils Yann à marcher pied nu sur ces punaises.

Très souvent, Yvette Quéré étouffait son propre fils Yann en lui mettant un oreiller sur la tête. Yann peinait à respirer et c’est encore un miracle qu’il ne soit pas décédé.

Yvette Quéré s’amusait à coincer les doigts de son fils Yann dans les portes. Yvette Quéré prenait plaisir à entendre son fils hurler de douleur.

Yvette Quéré brulait le corps de Yann avec des cigarettes.

Yvette Quéré demandait à ses sœurs d’aller chercher des orties pour les mettre dans le slip de son fils Yann. Yann devait garder ces orties dans son slip toute la journée.

Yvette Quéré écrasait les pieds de Yann avec ses talons aiguilles.

Et la liste des tortures Qu’Yvette Quéré à fait subir à son propre fils Yann est encore longue…

Yann Gouriou
Yann Gouriou

Yvette Quéré n’est pas allé à l’enterrement de sa propre mère qui est décédée dans les années 2000.

Yvette Quéré manipulait son mari, qui lui était trop fragile et surtout trop gentille.

Yvette Quéré préparait de temps en temps un chocolat chaud à son mari le soir après le dîner et lui mettait des somnifères dedans. Une fois le père de Yann endormit profondément à cause des somnifères, Yvette Quéré faisait du minitel rose pour préparer ses « plans culs » pour le lendemain. Mais le père de Yann ayant remarqué qu’il s’écroulait à chaque fois que sa femme lui préparait un chocolat chaud, a fait semblant de boire le chocolat qu’Yvette Quéré lui avait fait en le jetant dans l’évier. Le papa de Yann a donc fait semblant de s’endormir et a attendu quelques instants… En se relevant, il a surpris Yvette Quéré en train de faire du minitel rose. Cela explique pourquoi Yvette Quéré cachait les factures téléphoniques à son mari.

Le père de Yann a retrouvé une tache de sperme sur le siège de leur voiture. Celui-ci a demandé des explications à sa femme qui lui a répondu que c’était Yann qui avait vomi sur le siège.

Yvette Quéré a non seulement fait beaucoup de mal à son fils Yann et à son mari Joseph Gouriou, mais également à toute sa famille. Aujourd’hui, aucun membre de la famille ne veut voir Yvette Quéré.

Aujourd’hui, Yann est complètement détruit psychologiquement et est invalide à plus de 80%.

Yann ne peux plus vivre cette injustice de voir sa mère impunie pour son crime qu’elle a commise envers lui.

Si Yvette Quéré reste impunie, Yann préfère mettre fin à ses jours en passant par le suicide. Notamment en se rapprochant de l’association Suisse DIGNITAS qui aide les gens à mettre fin à leurs jours quand ceux-ci souffrent de trop.

Yann passe sa vie entre les hôpitaux et les cliniques psychiatriques et a déjà fait de nombreuses tentatives de suicides.

Yann souhaiterais également pouvoir trouver un écrivain qui lui rédigerait son autobiographie, ce qui lui permettrait de tourner la page définitivement sur son enfance horrible.

YANN GOURIOU VIOLÉ AU FOYER DE LA DASS !

Yann GOURIOU
Yann GOURIOU

Suite aux actes de tortures et barbaries causés par mon bourreau ma mère Yvette Quéré, j’ai été placé dans plusieurs foyers de la DASS.

J’ai été violé et j’ai subis des abus sexuels de la part de personnes plus âgés que moi dans ces foyers, et plus particulièrement au foyer de Dinard en Bretagne en Ille-et-Vilaine (35).

A cette époque, nous étions plus de 90 enfants dans un foyer d’à peine 50 places. Je subissais non seulement des brimades, des insultes et des violences physiques de la part des plus grands, mais également des abus sexuels et des viols de la part de ces personnes beaucoup plus âgés que moi.

Mon bourreau Yvette Quéré ne m’a jamais violé en tant que tel, mais m’a humilié sexuellement à plusieurs reprises. Les personnes qui m’ont violé sont des jeunes adolescents de 17/18 ans qui étaient placés tout comme moi au foyer de la DASS. Ces jeunes adolescents profitaient des plus jeunes pour les abuser sexuellement, voir les violer…

Je ne vais pas vous raconter en détail les scènes d’abus sexuels ainsi que les scènes de viols, mais je vais essayer de vous expliquer mon ressentie par rapport à ces abus sexuels que j’ai subis par ces personnes.

Je ne vous cache pas que je suis détruit psychologiquement par les actes de tortures et de barbaries de ma mère mon bourreau Yvette Quéré, mais ces actes de violences sexuelles m’ont tout autant détruit mentalement.

La première fois que j’ai été abusé sexuellement, je n’avais que 10 ans. La personne qui m’a abusé sexuellement s‘appelait Ibrahim, il avait 17 ans.

Au début, cela a commencé dans la salle de bain pendant que je prenais ma douche. Ibrahim passait sa tête au-dessus du mur de la douche pour me demander par des gestes obscènes de me masturber. Ne connaissant pas cela, il m’a obligé d’ouvrir la porte de la salle de bain.

C’est à ce moment-là que les abus sexuels ont commencé pour moi.

Cet Ibrahim m’a ensuite forcé à venir dans sa chambre pendant plusieurs mois pour me faire subir différents actes sexuels.

J’étais traumatisé et j’avais peur des représailles. En effet, cet Ibrahim me menaçait de me battre si je ne l’obéissais pas.

Ensuite, Ibrahim a invité un autre garçon qui s’appelait Stéphane et qui avait lui aussi 17 ans, à venir s’amuser avec lui dans sa chambre. C’est à partir de là que les choses ont empiré pour moi…

En effet, en plus des sévices sexuels d’Ibrahim, s’ajoutait ceux de Stéphane qui se rendait dans ma chambre presque tous les soirs pour assouvir ses envies obscènes…

Je n’ai pas été le seul abusé sexuellement, mon camarade de chambre subissait les mêmes sévices que moi. D’ailleurs, tous les jeunes subissaient des abus sexuels de la part des plus grands.

Les éducateurs et les éducatrices plaçaient les plus jeunes avec les plus vieux. Nous n’étions pas classés par tranche d’âge, nous étions tous mélangé.

Ma première nuit dans le foyer à Dinard s’est passée dans une chambre de 3 adolescents de 16/18 ans qui mettaient la musique à fond toute la nuit. Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit et cette nuit-là, a été ma première nuit blanche de ma vie.

De mes 10 ans à mes 13 ans, j’ai été violé et abusé sexuellement par plusieurs adolescents qui me menaçaient de me frapper si je n’obéissais pas à leurs désirs sexuels.

J’ai passé toute mon enfance à me faire battre, torturé, humilié et violé…

Aujourd’hui, je suis complètement détruit psychologiquement et je n’ai qu’une seule envie, mourir…

Dépôt de plainte

Dépôt de plainte :

Je soussigné Monsieur Gouriou Yann, né le 24 avril 1978 à Paimpol (22), exerçant la profession de Conseiller Clientèle, demeurant au 50 rue du Disque, 75013 Paris, déclare avoir été victime de :

1-    Violences aggravantes sur mineur de moins de 15 ans par ascendant
(Article 222-12, modifié par loi n°2012-954 du 6 août 2012 – art. 4)

2-    Tortures et actes de barbaries par ascendant sur mineur de moins de 15 ans (Article 222-3, modifié par la loi n°2012-954 du 6 août 2012 – art. 4)

3-    Délits sexuels par ascendant sur mineur de moins de 15 ans (Article 8 du code deprocédure pénale, modifiéenArticle 211-1 et modifié par loi n°2004-800 du 6 août 2004 – art. 28 JORF 7 août 2004 et l’Article 222-3 modifié par loi n°2007-297 du 5 mars 2007 – art. 44 JORF 7 mars 2007)

4-    Mise en péril et danger par privation de soins sur mineur de moins de 15 ans par ascendant (Article 227-26 modifié par Loi 2007-297 2007-03-05 art. 54 6° JORF 7 mars 2007)

5-    Atteinte volontaire à la vie sur mineur de moins de 15 ans par ascendant par le fait de faire absorber des substance illicite alcool et drogue en neuroleptique (Article 221-5 du code pénal)

Je porte à votre connaissance les faits suivants qui justifient ma plainte :

Je suis né le 24 avril 1978 à Paimpol de l’union de Madame Quéré Yvette devenue Madame Gouriou le temps de leur mariage et de Monsieur Gouriou Joseph né le 25 mai 1953 à Tréguier.

Ma maltraitance a commencé de ma naissance jusqu’à mes 12 ans pour être pris en charge à l’âge de mes 7 ans par les services sociaux en date du 14 janvier 1985 car ils en furent alertés.

Pendant toutes ces années, ma mère n’a eu de cesse que de me démolir, de s’acharner sur moi par tous les moyens profitant que mon père étant artisan dans le bâtiment et de ce fait peu présent car il travaillait tôt et finissait tard pour me faire vivre la souffrance, l’humiliation, la terreur, à un point où ceci est une sorte de miracle que je sois en vie après tout cela.

Ma mère, Yvette Quéré a tenté à plusieurs reprises de me tuer par empoisonnement en m’administrant de grandes quantités de somnifères et en me forçant à boire de l’alcool comme l’administration le notifie dans le dossier de la DASS alors que j’avais à peine 7 ans…

A défaut de ne pouvoir me tuer, Yvette Quéré m’a battu, torturé, humilié, menacé même devant l’administration hospitalière du « Bon Sauveur » telle qu’ils le valident sur leur dossier tout comme sur le dossier de la DASS.

Je vivais toujours enfermé dans ma chambre ou bien enfermé dans le noir dans le garage.

J’étais toujours contraint à dormir par terre car si j’étais surpris d’être dans mon lit, j’étais frappé et je le payais le lendemain ou durant les week-end.

Yvette Quéré m’interdisait d’aller aux toilettes de ce fait je ne pouvais faire mes besoins naturels dans les toilettes et donc ne pouvant me retenir je devais les faire ailleurs ce qui entrainait des représailles et des humiliations verbales comme un animal maltraité.

Yvette Quéré me battait à coups de bâton et de martinet, elle me donnait des claques, des coups de poings, ainsi que des coups de pieds au visage et sur tout le corps, tout autant au niveau de mes organes génitaux.

Ma mèreme brûlait la main sur une plaque électrique, me brûlait le corps avec des cigarettes comme notifié sur le dossier de l’hôpital « Bon Sauveur ».

Elle me jetait dans les escaliers, me coinçait les doigts dans les portes, m’obligeait à marcher pied nu sur des punaises.

Elle me forçait à avaler de la soupe bouillante comme me forcer à subir des douches punitives pour m’ébouillanter ou à l’inverse me mettre dans de l’eau glacée.

Madame Quéré me mettait la tête sous l’eau pendant de longs moments pour me faire croire au fait qu’elle me noyait pour m’en sortir suffoquant.

Ma mère m’humiliait en m’accrochant des épingles à linge sur mon sexe et en m’exhibant aux yeux de mes sœurs et se moquant de moi et de mon anatomie masculine.

Tout comme elle me mettait des orties dans mon slip que je devais garder toute la journée et savourant son plaisir au vu de ma souffrance de garçon.

Elle frappait avec des coups de règle en métal sur les doigts et sur ma tête ainsi que sur mes testicules et pénis.

Elle me mettait tout nu dans le jardin en plein hivers pendant des heures.

Elle me mettait tout nu en plein soleil pendant des heures pour que je sois brûlé au maximum par les rayons du soleil n’ayant pas le droit de bouger.

Madame Quéré m’écrasait les pieds avec ses talons aiguilles, me contraignait à me mettre à genoux sur une règle en métal pendant de longues heures, tout comme me contraignant à me mettre à cloche-pied ou sur la pointe des pieds pendant de longues heures.

Ma mère Madame Quéré Yvette me transformait en jouet humain pour que mes sœurs puissent sous ses ordres me taper et si je disais quoi que ce soit, j’étais encore battu.

Ma mère m’affamait en me privant de nourriture pendant plusieurs jours pour ensuite me gaver de force jusqu’à me faire vomir pour m’obliger à nettoyer mon vomi en le mangeant.

Elle me m’obligeait à manger du pâté pour chien ainsi que des croquettes pour chat car nous avions un chien épagneul breton qui se prénommait « Tania » et plusieurs chats.

J’étais obligé d’aller à l’école en Tongue et en short sous la neige et de ce fait, cela a déclenché le début des actions pour me sécuriser car la directrice de mon école en a fait une remontée sur les services sociaux en dehors des marques de violences constatées.

Pour inciter mon père à me frapper, Yvette Quéré déchirait mes cahiers d’école et mon cartable, découpait les draps de mon lit au ciseau, déchirait le papier peint et gribouillait les murs de ma chambre, cassait le cadeau de la fête des pères, cassait mes jouets de noël offerts par les membres de ma famille…

J’ai subi la violence constante de ma mère envers mon père, allant même un noël à casser une bouteille de champagne sur la tête de mon père qui est tombé à terre et nous hurlions pensant qu’il était mort et nous avons été expédiés dans notre chambre.

La liste des actes de tortures, barbaries, maltraitance ainsi que du manquement fondamental envers un enfant que j’ai subis n’est pas exhaustive.

Madame Quéré Yvette m’a fait endurer ce qu’aucuns enfants de cet âge ne devraient subir et cela durant 12 longues années, afin de mettre ma vie en péril et me détruire de manière direct et indirecte à la fois physiquement comme psychiquement.

De ce fait à ce jour, je suis invalide à 80% car j’ai trop cru pouvoir oublier mon enfance détruite, mais cette dernière m’a toujours suivi.

Je fais cette démarche car c’est la seule solution qui pourra me faire renaitre et que justice soit faite.

De ce fait, je mise en vous qui représenté la loi et son application pour donner suite à cette plainte.

Cette plainte me concerne, mais elle concerne tant d’actes encore impuni qui hélas laisse nombre de personnes dans une vie sans espoir car le démarrage d’une vie ne doit pas être cela, tout comme un animal on ne le traite pas mal.

Ceci en dehors de mon invalidité m’a détruit tant de choses dans ma vie d’après, que je me dis que cela doit-être absolument jugé car nous sommes un pays qui respecte des règles et un enfant tout comme un adulte ne doit pas subir des faits pénalement condamnables.

Atteintes physiques, psychiques, cruauté mentale, mise en péril.

Tortures physiques par personne ascendante ayant autorité :

–       Simulacre d’étouffement avec un oreiller dans le lit.

–       Simulacre de noyade.

–       Intimidation et conditionnement à la terreur.

–       Atteinte à l’intégrité physique et mentale sur personne faible et dépendante (enfant moins de 15 ans) en forçant la victime à subir des positionnements comme l’immobilisation dans des positions douloureuses par du ligotage dans un lit, maintien prolongé sans bouger debout dans un coin, accroupi sur une règle en métal, sur un pied, sur la pointe des pieds, etc…

–       Brûlures par des cigarettes et sur plaque électrique.

–       Forcé à avaler des liquides bouillants.

–       Doigts coincés de manières manifestes au niveau des gonds des portes.

–       Forcer à rester dans le local exigu et odorant des poubelles pendant des journées entières.

–       Expositions prolongées à des extrêmes de chaleur ou de froid.

–       Ingestion de divers produits tel que l’alcool et neuroleptiques (Tentatives d’empoisonnement) : Article 221-5 du code pénal.

Tortures psychologiques :

–       Devoir dormir dans le garage à même le sol.

–       Actes visant à l’asservissement et à la déshumanisation personnelle.

–       Menaces constantes de punitions menant à un effet de peur intense psychologique.

–       Humiliations dégradantes de ma personne envers des tierces personnes (propos sur l’aspect génital du garçon. Interdiction d’aller faire ses besoins afin de forcer à les faire sur soit même.

–       Interdiction sous menaces de dire ce qui s’est passé entre ma mère et moi sous peine que les vengeances soient bien plus extrêmes.

Violences physiques sur personne ayant autorité :

Négligences lourdes ayant des conséquences graves sur mon développement physique et psychologique :

–       Négligences physiques par manquement à la nutrition, habillement et hygiène.

–       Négligences émotionnels par aucune attention ou affection.

–       Négligences éducationnels par aucune aide aux devoirs et aux travaux scolaires.

–       Négligences médicales par aucun soin médical apporté.

–       Négligences chroniques par refus continuel des besoins de l’enfant.

Maltraitances physiques par des coups de poing, des coups de pied, des claques, des coups de ceinture, des coups de martinet, des coups de bâton, tirage de cheveux et d’oreilles, etc…

Délits sexuels par voie de violences sexuelles par l’exhibition des parties génitales ainsi que des coups sur les testicules par pieds, mains, objets…

Tortures sexuelles avec la mise en place d’ortie dans les sous-vêtements des parties génitales durant la journée en hors scolaire. Application de pinces à linge sur le pénis.

Maltraitance social par l’exposition de l’enfant à la violence familiale.

En conséquence, je porte plainte contre Madame Quéré Yvette, née le 3 novembre 1957 à Plédran (22), sans profession, demeurant au 2 Rue de Venise, 22000 Saint Brieuc (22) responsable de ces faits.

Je vous joins en pièces jointes :

1-     Une partie de mon dossier de la DASS attestant de ces années de souffrance et de la constatation évidente de ma mise en péril en subissant de manière manifeste de la part de ma mère des agissements graves envers moi dans une atmosphère qui est cité et notifiée en première date du 27 novembre 1984 et sur plusieurs années par différents services pour la protection de l’enfance.

2-     Attestation de Madame Delahais Psychologue de l’hôpital « Bon Sauveur » à Bégard en date du 10 décembre 1986 indiquant une lourde partie des faits.

3-     Une partie des nombreux séjours en hôpitaux suite aux retombées psychologiques de cette jeunesse.

4-     Une attestation du Docteur Moulin de la clinique « CLINEA Villa Montsouris » qui m’a le plus suivi pour mon traumatisme post-traumatique.

5-     Ma carte d’invalidité à plus de 80%.

Sachant que je suis en attente d’autres pièces que je vous fournirai dès que j’aurai réussi à les obtenir (Attestation du Docteur Chouday, attestation de mon père et de membres de ma famille, dossier intégral de l’hôpital « Bon Sauveur » à Bégard (22140), dossier du service scolaire de l’école privée Saint George de Pleubian (22610), dossier du centre médico-social de Paimpol (22)

En vous priant de donner à cette affaire la suite légale qu’elle comporte,

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le Procureur de la République, l’expression de ma considération distinguée.